Dimanche 3 Mai, nous avons perdu un ami, une source intarissable, lumineuse qui faisait vibrer les corps et les esprits. J’ai eu la chance de croiser de nombreux artistes grâce à ce métier, mais il y a une seule personne à qui j’ai demandé un jour un autographe, allez savoir pourquoi. Il était mon voisin de bureau, de palier comme il l’a écrit, de 1989 à 1995.
Le soir, ou la nuit souvent après le travail, nous nous asseyions dans l’escalier qui conduisait à la mezzanine dans les bureaux de Caramba et nous écoutions cette voix … Il nous parlait d’histoire, musique, cyclisme… Il y aurait tant à raconter. Une page d’histoire se tourne.